S’il est encore jeune, le groupe OCEA s’est fondé sur des bases anciennes en se structurant rapidement autour d’expertises pointues. Une progression parfaitement ordonnée qui lui permet à disposer aujourd’hui d’un outil de production de haut niveau.
OCEA a jeté l’ancre aux Sables-d’Olonne en 1987 lorsque Roland Joassard et Fabrice Epaud ont repris l’activité du chantier sablais Pouvreau, fondé en 1934. Au cours de la décennie suivante, l’entreprise a renforcé son activité de construction navale. En 1990, elle rachetait un autre chantier historique des Sables-d’Olonnes, Union & Travail, fondé en 1917 et, cinq ans plus tard, le chantier Le Bastion. En 1996, OCEA ouvrait à Saint-Nazaire un second site spécialisé dans la construction de navires rapides. L’entreprise a poursuivi sa croissance avec l’acquisition en 1999 à Fontenay-le-Comte d’un troisième pôle dédié à la fabrication des coques.
En 2000, OCEA s’est développé hors métropole avec l’entrée dans le groupe du chantier Travaux industriels guadeloupéens (TIG).
Le rachat en 2009 du chantier naval Gamelin, spécialiste de la construction de navires passagers en aluminium, a permis à OCEA de disposer d’un quatrième site à La Rochelle. En 2012, un plan de modernisation du site des Sables-d’Olonne a conduit OCEA à rénover totalement son outil de production en permettant notamment d’accueillir des unités jusqu’à 85 mètres.
En 2000, un armateur expérimenté et ses architectes navals, Michel Joubert et Bernard Nivelt, souhaitent construire un yacht capable de naviguer pendant de longues périodes et vers des destinations lointaines. Ils se tournent naturellement vers les chantiers spécialisés dans la fabrication de bateaux professionnels fiables et robustes, et choisissent de confier leur projet à OCEA.
C’est de cette rencontre que naissent Espiritu Santo, un OCEA Classic de 30 mètres, livré en 2002… et OCEA Yachts, département d’OCEA spécifiquement dédié aux motoryachts.
Depuis lors, OCEA Yachts a livré huit autres motoryachts :